Commentaire de Senatus populusque (Courouve)
sur Jean-Paul Sartre, l'homme qui valait n'importe qui
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« sa conviction profonde : tout homme en vaut un autre. »
Il y a quelques lacunes dans vos citations :
« En ce premier temps de la révolte, il faut tuer : abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre. » Préface à Frantz Fanon, Les Damnés de la terre, Paris : Maspéro, 1961, page 16.
« Un anticommuniste est un chien, je ne sors pas de là, je n’en sortirai plus jamais. » Jean-Paul Sartre, Les Temps Modernes, octobre-novembre 1961.
En 1975, à propos du général Franco, il dira : « gueule abominable de salaud latin » Libération, 28 octobre 1975.