Commentaire de Nicolas Ernandez
sur Bob Dylan, un monde perdu pour le monde


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Nicolas Cavaliere Nicolas Ernandez 14 avril 2016 10:36

@bakerstreet
Très beau commentaire. Le film des frères Coen m’a beaucoup parlé aussi, Van Ronk était trop violent pour se faire une place dans le grand public, alors que Dylan était quelque part « adaptable » et jouait plus facilement de son corps, ça lui donnait une place dans les médias, et c’est quelque chose qu’il a remarqué lui-même, il le dit dans le documentaire « Don’t Look Back », quand il prend les journalistes à parti, et les journalistes comprennent pas, ou font mine de pas comprendre.


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