Commentaire de Raoul-Henri
sur Jésus contre Israël, le retour de la revanche
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Merci pour ce partage de vos allégations argumentatives, je n’ai pas lu la bible-lot mais il me plait de la « lyre » avec ce détachement reli-géré que vous lui apportez. J’aurais beaucoup trop de questions à poser et de remarques à élaborer sur vos mises en perspectives (c’est le premier article que je lis de vous) ; aussi, me contenterais-je de vous transmettre une piste à creuser (pour moi, la rigole est déjà profonde) :
Il n’y a pas deux Jésus, c’est le même qui passe d’un état « vivant » (rhésus de la croix) à celui moribond après ce passage sacrificiel (rhésus barabaras ou anté-christ) ; et qui revient, après un laps de temps variable passé à la purge, identique à lui-même, et ce, indéfiniment. Le passage de Christ à Barabbas est une chute de potentiel (pote en ciel) ; celui de Barabbas à nouveau Christ, en passant par la stase du Père (la pro-stitution ou pré-état), une élévation de potentiel. Une description de la réincarnation para-chutée dans le raz de bol. :)
Jésus (Rhésus) est un signe monétaire. Le sang qui message et qui présage.