Commentaire de Pierre-Yves Martin
sur Grèce, un an plus tard
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@cétacose2
La première cause, ; c’est l’appétit de nombreux groupes industriels et financiers (et pas seulement Gioldman Sachs, malgré son rôle tout particulier en l’occurrence) pour l’argent qu’il y avait à gagner en Grèce.
Y a -t-il eu « incurie » de tout les dirigeants ? Votre vision me semble imprégnée d’angélisme. Il n’y aurait incurie que si les dirigeants politiques étaient ds gens honnêtes, soucieux du bonheur de leurs concitoyens, et seulement négligents ou naïfs. Mais si, en Grèce comme ailleurs, ils ont comme principaux soucis leur propre carrière, leur propre richesse, leur propre gloire, qu’y a-t-il d’étonnant à ce qu’ils cèdent toujours à ceux qui ont des masses quasi infinies d’argent et peuvent don leur offrir tout cela ?