Commentaire de Hervé Hum
sur L'hémiplégie du regard
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Ligne de crête, voir tout pour savoir où on est
certes, mais reste à savoir de quelle ligne de crête il s’agit.
Autrement dit, de savoir si c’est la ligne de crête du sommet de la montagne, où du monticule sur lequel on trône en s’imaginant être au sommet de la montagne.
ce qui n’empêche pas l’hémiplégie du regard, mais le fait plonger dans l’absurdité sans qu’il puisse s’en rendre compte. Surtout, parce que cela lui fait alors deux raisons de ne pas en prendre conscience. En effet, ce qui commande l’hémiplégie du regard, c’est la volonté de ne voir que le coté qui accrédite son propre regard et ignorer le reste et pour cela, vaut mieux trôner sur un monticule que l’on aura soi même construit.
Par exemple, Alinea est un cas typique de quelqu’un qui confond son monticule avec le sommet de la montagne. De là, elle pense voir bien des détails...