Commentaire de clostra
sur Pourquoi n'y a-t-il (presque) plus de poissons en Méditerranée (et partout ailleurs) ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

clostra 3 septembre 2016 12:55

Je ne suis pas économiste, bien que observant que ce sont les milliers de toutes petites entreprises (parce qu’elles sont légion)qui ont fait les frais de la politique du « tous les chômeurs en formation » (NB c’est ficelle, mais un chômeur en formation n’est plus considéré comme chômeur) parce que soudain taxées pour la formation professionnelle alors qu’elles en étaient exemptées - un bon exemple de vases communiquant car ceux-là se retrouveront chômeurs)

donc oui je ne suis pas économiste mais j’aimerais entendre des citoyens - cobayes - dire que ce qui tombe dans le domaine public - les brevets de plus de 10 ans - y reste. Ce qui signifie que les génériques appartiennent de droit au public. En clair que l’industrie du générique soit nationalisée.

Ce qui permettrait de faire un tri « on garde, on jette » (on jette mais on se fait rembourser par un taxe d’inutilité, de dangerosité) et on reprend les bons vieux médicaments qui ont fait leurs preuves et mieux encore (exemple : bêta bloqueurs versus trinitrine, accompagnée d’un taux de nitrate dans l’eau de nature à protéger des maladies cardiaques NO étant un médiateur de première importance) et bien d’autres choses qui touchent de fait l’industrie agro-alimentaire, l’agriculture etc

Si les économistes (de Mélenchon par exemple) veulent bien se pencher sur la chose, ce serait bien, car avec les (petits) bénéfices de cette industrie nationale du générique et surtout les économies réalisées, on va pouvoir financer la recherche fondamentale comme elle n’aurait jamais du cesser de l’être.


Voir ce commentaire dans son contexte