Commentaire de Taverne
sur Le sens de notre vie
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Dans un prochain article, je montrerai comment l’être-souffle et l’être-souche sont au fondement d’une dualité de dimensions.
L’être-souffle est le « je » qui exprime et insuffle l’être et l’intuition,
L’être-souche est le « moi » qui affirme et fonde la confiance.
Et je montrerai que les vertus cardinales antiques se répartissent selon ces deux dimensions et correspondent aux quatre forces naturelles que j’ai montrées : désir, volonté, confiance, aspiration.