Commentaire de Taverne
sur Le Printemps de notre Etre
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@Christian Labrune
« du presque rien » : je vois que j’ai affaire à un connaisseur en Jankélévitch qui prisait particulièrement cette notion de « presque rien ».
Sur l’instant : « Toucher ce presque rien qui invisiblement nous transforme et qui pourtant demeure irréductible à toute description. »