Commentaire de Taverne
sur Le Printemps de notre Etre
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@Christian Labrune
Je répondrai par deux aphorismes qui viennent de germer à mon esprit, à la lecture de ce texte :
- nous cohabitons avec un inconnu, avec un ennemi : nous-même !
- le moi n’est que l’être qui est encore dans l’œuf.