« On nous glisse à l’oreille — attendez, la campagne électorale prendra fin et tout reviendra à la normale. »
Ce qui, en regard de l’état actuel de délabrement d’une finance occidentale au bord de l’effondrement et des innombrables problèmes internes (villes et états en faillite, fermetures d’entreprises, disparition des classes moyennes, montée des tensions raciales, croissance des sans-abris, de la pauvreté, ...), auxquels se trouvera confronté le prochain président U$, ne peut constituer qu’un mensonge de plus !
Une fois cette campagne présidentielle - menée en dessous de la ceinture - achevée, il restera tout aussi, sinon plus, impératif de désigner au public des boucs émissaires sur lesquels concentrer son attention.
Rien de tel qu’un « bon » ennemi pour souder une nation, la détourner des vrais problèmes et lui faire accepter des sacrifices imbuvables autrement, le truc est à peu près aussi vieux que la guerre. Et on connaît trop bien les obsessions bellicistes d’Hillary Clinton - qui a déjà distribué bien des allumettes à tous les boute-feu de la planète - pour se faire la moindre illusion sur la suite.

J’attends personnellement avec impatience l’intervention et les prises de position de Vladimir Poutine lors des prochaines rencontres du club du Valdaï, qui doivent se tenir du 24 au 27 octobre, pour y voir un peu plus clair.

En vous présentant mes cordiales salutations ! 

PS : Comme vous nous avez aimablement informé de cette médaille de l’Ange de la Paix offerte par le pape François à Vladimir Poutine, je m’en voudrais de ne pas vous faire connaître l’énigme de ce merveilleux sourire croisé dans ma jeunesse.