Commentaire de ddacoudre
sur Réponse à la hauteur
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@Gilles Mérivac
je comprend cela, mais pourtant c’est bien ce que nous faisons. à chaque drame nous nous émouvons au rythme des storystelling que montent en épingle les médias tant que ça leur procurent de l’audience en jouant sur les émotions, cela va bien au delà de l’information nécessaire il développe ce que l’on appelle un ressenti et tout le monde se place dans cette démarche car personne n’accepterait une autre posture. tu le vois la sur le fil. j’ai fais un article de fond et l’on me répond émotion. est c’est normal. sauf qu’une fois l’émotion passé ou remplacé par une autre le « jeu » continu et rien ne change ci ce n’est des propos et propositions qui se surenchérissent. c’est événement aussi dramatique et inacceptable soit ils font parti des risques mineurs ce ne sont pas de ces risque la que meurent la plus part des citoyens, sauf que décrire ou écrire cette réalité qui repose non sur l’émotion mais sur une analyse vérifiable est indécent. et malheur à qui le dis ils est ostracisé tout de suite ou dit comme Rocla je me fout des statistiques. hors comme je l’ai écris elle démontre le lien entre chômage, consommation,revenus et délinquance et offre donc des piste de réflexion pour trouver une solution autre que la répression inefficace. quand je dis inefficace nous le constatons et cet événement en est l’exemple en franchissant un cas dans la violence en remplaçant les cailloux par des cocktails. mais nous cela ne nous intéresse pas ce qui nous plait c’est l’émoi dont l’on peu faire état. cela démontre inefficacité de nos choix mais l’on s’en fout. quand un ministre de l’intérieur dit ce sont des sauvageons cela fait rêver, idem quand l’on dit ce sont des assassins, certes ils ont prémédité leur coup et le mot convient a cela, mais il ne faut pas s’en servir pour refuser de regarder pourquoi au delà de la qualification. posture verbale aussi les déclaration du gouvernement, « les coupables seront poursuivit sans concession et puni sévèrement à la hauteur de leurs actes ».
a chaque affaire émotionnelle nous avons besoin de ce cataplasme de communicant et rien ne change car nous ne changeons les conditions d’existences de ces ghettos.
cordialement.