Commentaire de velosolex
sur Je n'aurais pas voté


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velosolex velosolex 13 novembre 2016 08:54

 « Enfin d’après harrisson ; j’aurais bien aimé l’entendre, tiens, au sujet de ces élections. »

Facile, il suffit de lire ses livres, de voir sa vie. Rien ne l’étonnait sur les choses humaines, surtout avec l’âge. Finalement, on comprend pourquoi on doit mourir, indépendamment du vieillissement biologique. A un certain moment donné, l’humanité vous sort pas les trous du nez, avant que les vers ne finissent le boulot. 
Un peu comme pour Leonard Cohen, (Que Suzanne prenne soin de lui, lui offre du thé au jasmin !, mais surtout pas de Donald comme majordone, au chelsea Hotel !) 
Des types sympas qui habillaient la vie, changeant les maux en mots, n’avaient pas la grosse tête, et étaient capables de discuter le bout de gras avec n’importe qui, pourvu que ce soit un pêcheur, un poète, on n’immporte qui les mains dans les poches crevés, pourvu d’un paletot idéal, assis en bout de jetée et regardant le soir se coucher. 
Que pensaient ils d’Hitler ? ...Il y avait la chanson du partisan, de Leonard, que j’écoutais de façon religieuse quand j’avais 17 ans, et qui parlait d’un résistant caché par un vieille homme dans un grenier.
 Il n’y a rien à dire de ce Donald, un soudard, un géolier, un pervers, un type vulgaire, un démagogue qui fait sa pelote sur le malheur. La vulgarité même. 
Jim et Leonard, Ils sont morts sans surprises, alors que le soir tombait.

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