Commentaire de Christian Labrune
sur Un véritable effroi de canards
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@siatom
A l’heure qu’il est, après tant d’efforts obstinés pour invoquer ses mânes, j’imagine les cendres de Jacques Lacan qui se trémoussent dans son cercueil. Il va peut-être bien ressusciter, le Père-sévère. Il ne manquerait plus que cela. Dieu nous préserve de son retour !