Commentaire de hugo BOTOPO
sur Déconstruction de la démocratie


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hugo BOTOPO 18 novembre 2016 16:31

@Spartacus

À force de répéter les mêmes inepties on les transformer en vérités et on y croît dur comme fer !

Pauvres générations futures : elles auraient ce jour à leur naissance une dette publique individuelle de l’ordre de 30 000 €  !!!! La jeunesse est vraiment sacrifiée.

Chaque jeune -écrasé sous le poids de sa part de dette qu’il devra assumer une fois au travail (sauf s’il ne vit que de diverses allocations)- coûte en dépenses publiques (état, collectivités territoriales, santé, allocations familiales...) de sa conception jusqu’à son arrivée sur le marché du travail entre 200 000 et 250 000 € selon sa durée de scolarité et de formation professionnelle. Les dépenses de sa famille (nourritures, vêtements, logement plus grand, nombreux loisirs, internet et télécommunications etc...) sont la grosse cerise sur le gâteau : la joie des parents n’a pas de prix mais un coût !
En outre ce pauvre jeune des générations futures héritera de parts de la richesse familiale et nationale : (en moyenne la part de capital mobilier et immobilier est de l’ordre de 100 000 € par français)

Par contre, en France et ailleurs du fait de mauvaises gestions et d’un système inique, ce sont les financiers et créanciers bancaires qui se gavent d’intérêts en prêtant de l’argent qu’ils ne possèdent pas.

Dans cet ordre d’idées il est souhaitable de diminuer la natalité française car se serait tout bénéfice.
En France 2 enfants/femme et 800 000 naissances/an pour 65 millions d’habitants !
En Allemagne 1,4 enfants/femme et 650 000 naissances/an pour 82 millions d’habitants !
Avec 2 enfants/femme l’Allemagne aurait plus d’un million de naissances/an soit un coût public supplémentaire entre 70 et 90 Milliard€/an. Sur les 20 dernières années de déficit budgétaire allemand cela correspondrait à une augmentation de la dette publique allemande de l’ordre de 1600 Md€ sans compter le cumul des intérêts. L’Allemagne n’a donc pas cette dette sur le dos car les 300 à 400 000 immigrés de compensation bien élevés et formés aux frais des budgets de leurs pays d’origine, (dont on reproche leur déficit induit) ont pris la place des naissances manquantes.

En outre, en France en dehors des fautes systèmiques de gestion de notre économie, il y a chaque année depuis longtemps plus de 200 000 arrivées sur le marché du travail que de départs (retraites ou décès) auxquels s’ajoutent les soldes migratoires : cela justifie amplement la croissance de notre chômage !


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