Bonjour, Attilax

Vous avez parfaitement raison, depuis que le PS s’est résolument rallié à la doxa libérale, il n’est plus de gauche, et les « frondeurs » de ce parti qui contestent cet alignement auraient dû en tirer les conséquences en boycottant la primaire et en joignant leurs forces à celles de Mélenchon.

Mais le chantage aux investitures a encore de beaux jours devant lui, apparemment. Un mauvais calcul en l’occurrence car porter l’étiquette du PS aux législatives de juin risque d’être dévastateur.