Je salue Alger, ma ville natale. Mes grands parents habitaient dans le quartier où a grandi Albert Camus. Qui fut, comme chacun sait, journaliste à Alger Républicain.

N’oublions jamais le sacrifice des journalistes algériens qui ont payé de leur sang leur lutte pour la liberté, pendant la guerre civile.

A mon avis, hélas, la déviance de ceux qui ont aujourd’hui l’audace de se prétendre journalistes ne va pas s’arrêter. Ils vont s’enfoncer dans la haine et les appels au meurtre, et ce d’autant plus que la réalité contredira leurs commentaires. C’est la fuite vers l’abyme. En un sens, c’est pire que la propagande de « 1984 ».

Salutations