Commentaire de Samson
sur Les canailles de la République
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« Tout est à revoir du sol au plafond dans ce système. »
Il est clair que l’électeur, tant Outre-Atlantique qu’ici, refuse désormais de perpétuer encore le statut-quo du TINA, matraqué depuis près de 40 ans par nos politiciens et les médias main-stream pour prétexte au pillage éhonté des ressources et de la richesse planétaire par une petite élite mondialiste et ses larbins, avec pour corollaire l’appauvrissement massif des populations.
Si même certaines prometteuses de beaux jours ou autres aventuriers ne surfent dessus que pour mieux grappiller leur dérisoire part du gâteau, la vague est bien là - Duterte, Brexit, Trump, ... - et, tant que nous sommes encore en démocraties, les temps sont mûrs pour l’électeur de renverser enfin les tables !
Si elle comporte bien des périls - dont le premier est de se leurrer sur l’identité de l’« ennemi » (sdf, étranger, réfugié, chômeur, assisté, ...) -, seule une rupture radicale permettra de redéfinir les enjeux pour s’attaquer enfin aux vrais problèmes et ouvrir à nouveau l’avenir à l’espoir.
Et, pour ce que j’ai à perdre, tant pis si la novlangue néo-libérale me taxe de « populisme », ...
« La politique n’est pas un métier. »
Idéalement, c’est même un service.
Pour ce que j’en comprends, nombreux sont ceux à avoir misé sur les vieux appareils - Ripoubli$tes ou $ocialicains - qui vont bientôt porter le deuil de plans de carrière pourtant si bien huilés, ...