Commentaire de Layly Victor
sur Déroute des mercenaires qataris à Barcelone
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@sweach
Quand j’étais ado, mon idole, c’était Sandro Mazolla, l’avant centre de l’inter de Milan et de l’équipe d’Italie (celle qui avait joué contre l’Allemagne, en demi-finale de la coupe du monde 1970, « le plus beau match de tous les temps »).
Il n’a jamais quitté son club de l’inter et lui a toujours été fidèle.
Il avait une coupe de cheveux normale, sans ostentation.
Il avait une élégance discrète.
Il vivait en famille, ne sortait pas en boîte, ne se signalait par aucun excès.
Sur le terrain, c’était un ouragan. Il ne renonçait jamais et déployait une énergie prodigieuse.
Il m’a beaucoup aidé dans la vie, par son exemple.
Les gamins aujourd’hui n’ont plus de tels modèles.