Commentaire de Gilles Mérivac
sur La Démocratie Démonarque
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Constat tristement vrai, mais le peuple n’est-il pas lui-même, à son corps défendant, responsable de cette dérive ?
N’a-t-il pas pris pour argent comptant les théories de tous ceux qui le caressaient dans le sens du poil en dévaluant les tous les diplômes donc le mérite afin que le piston et les relations soient comme avant la clef du succès ?
N’a-t-il pas accepté toutes ces chasses bien gardées dans l’espoir de recevoir quelques miettes au passage ?
On peut toujours tourner les choses dans un sens ou un autre, on a toujours les dirigeants que l’on mérite, et ce n’est que justice. S’en laver les mains, c’est démissionner et refuser sa part de responsabilité.