Commentaire de Hamed
sur L'archipel philosophique de l'intrication quantique relativiste


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Hamed 4 juin 2017 00:44

@ L’auteur


Démonstration complexe et floue. Je regrette de le dire pour l’auteur. Trop de mots complexes qui veulent dire des choses mais en fait n’expriment rien. Je ne sais si ceux qui ont dit que le texte est bon, mais en ce qui me concerne, je n’ai pas compris grand chose.

Si l’auteur veut bien m’éclairer. Vous dîtes aussi : « comment ignorer aujourd’hui que l’univers tout entier à été créé pour la seule gloire de l’homme ? Un monde supérieur, divin, l’immensité cosmique, et un monde inférieur, celui de la petitesse atomique, séparé d’une fracture nette, physique et conceptuelle, ontologique, un monde entièrement dissocié de celui situé au-dessous de nous, celui là soumit aux volontés humaines. Car descendants des dieux, au centre de cet univers, limite cathartique et transfigurative : l’Homme. Un homme « en marche », d’ailleurs. Homme qui pourvut de connaissance, saura situer et recevoir les messages divins, ce que Heidegger décrivait comme « l’Illumination », et saura ainsi avancer sur la route de la compréhension scientifique consensualisée, et saura d’autant mieux, se faisant, réduire le monde au simple usage de ses propres plaisirs. »

Tout d’abord qui vous dit que « l’univers tout entier a été créé pour la seule gloire de l’homme ? ». Qui est cet homme qui n’aurait pu exister s’il ne lui avait pas été permis de penser. Et par cette permission qui lui a été octroyé pour penser, vous allez jusqu’à clamer que tout a été créé pour la gloire de l’homme. Quelle gloire lorsqu’on sait que l’existence de l’homme est éphémère, et qu’il n’existe l’homme que pour n’exister pas ensuite. Au point que l’on ne sait si on existe lorsque l’on se sait tout juste que l’on n’est qu’un passager pour un temps sur le train de la vie terrestre.

Aussi, je dis à l’auteur de ne pas m’en vouloir de lui dire que nous sommes un instrument pour la pensée, et partant de cet état, une création du Créateur. Au point parfois que l’on se demande si réellement nous existons.

Cdl


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