Commentaire de Philippe VERGNES
sur L'inceste, l'œdipe et la perversion narcissique selon Paul-Claude Racamier


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Philippe VERGNES 9 juillet 2017 23:41

@ kalachnikov,


Ce qui serait rigolo si ce n’était pas si triste, ce serait plutôt le fait que vous êtes constamment à chercher la paille dans l’œil du voisin tout en oubliant la poutre qu’il y a dans le votre. Pour rappel : le premier à avoir introduit un terrorisme intellectuel dans ce fil de discussion... bah, c’est vous !

Nous trouvons-là un autre exemple de discours paradoxal dont les pervers sont capables : pousser l’autre à la faute pour ensuite pouvoir le critiquer ou le rabaisser comme vous n’avez de cesse de le faire ici constitue un moyen très habile, ET TOTALEMENT PERVERS, de tentative de prise de pouvoir sur autrui.

Vous qui aimez les arguments d’autorité, vous trouverez ça chez Marie-France Hirigoyen dans son livre sur Le harcèlement, la violence perverse au quotidien. Elle est psychiatre victimologue. C’est une spécialité qui n’a rien à voir avec la psychanalyse et qui y est même plutôt opposée puisqu’elle accuse la psychanalyse de se rendre complice des agresseurs en niant l’impact des agressions sexuelles (sauf que, encore une fois, il y a psychanalyse et psychanalyse).

Par contre, auriez-vous l’amabilité d’éclaircir ce propos SVP : « ... je n’inclue pas là la violence sexuelle exercée contre l’enfant, que ce soit dans le cadre familial ou autre, et dont le ressort est l’absence:incapacité de consentement éclairé. »

Qu’entendez-vous donc par « le ressort est absence/incapacité de consentement éclairé » lors de « violence sexuelle exercée contre l’enfant » ? Comment entrevoyez-vous les rapports sexuels entre adultes et enfants dans le cadre de ce « consentement éclairé » ?

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