« On le voit l’esprit d’El Andalous caractérisée par « l’harmonie entre les trois religions » est une réussite humaine »

Tellement harmonieuse qu’au bout de sept cents ans, les Espagnols savaient très précisément qui étaient les intrus chez eux et qui, par conséquent, ils devaient chasser pour rester entre eux chez eux.

C’est long sept cents ans, très long. C’est la durée qui nous sépare du règne de Philippe V le Long, en France, d’Edouard II d’Angleterre et de Louis IV empereur des Romains (Saint Empire Romain germanique). La guerre de Cent ans n’a pas encore commencé, et, depuis 1304, les papes résident en Avignon.

Le genre d’« harmonie » et de « réussite humaine » que constitue El Andalous, on appellera cela, bien plus tard, apartheid. L’auteur voudrait-il suggérer qu’il y aurait peut-être là, une piste pour le futur multicivilisationnel de l’Europe ?

Parce que parler de multiculturalisme, de multiethnisme, de multiconfessionnalisme, ou je ne sais quelle baliverne euphémistique, tend à cacher le fait que la présence de dizaines millions de musulmans transforme l’Europe en continent multicivilisationnnel.

Et l’histoire montre que deux civilisations ne peuvent cohabiter sur un même territoire qu’à la condition que l’une domine l’autre et que l’autre accepte, bon gré mal gré, cette domination.

Mais, aujourd’hui, profitant de nos « valeurs », les musulmans revendiquent l’égalité, pour atteindre, ne nous y trompons, à la suprématie, parce que l’égalité revient à mettre la Vérité (musulmane) et le Mensonge (mécréant), le pur (halal) et l’impur (haram) sur un (intolérable) même plan.

L’intégration est un leurre, qui n’engage à rien, si ce n’est à vivre de son travail et à respecter les lois. De rares musulmans s’assimilent, adoptent la France qui les adopte, pourrait-on dire, les autres trouvent à combler leur aspirations sociétales au sein de leur communauté.

Ils n’ont pas plus besoin des Français de souche qu’ils n’en avaient besoin dans leurs pays d’origine. Ils leur sont un mal économico-commercial nécessaire, qui marient leurs fils entre eux et qui se laissent déshonorer tant par leurs femmes que par leurs filles.

Mais ils savent bien, et c’est leur revanche permenante, qu’à la fin, c’est la Vraie Foi qui gagne, c’est écrit dans le Coran - «  Ceux qui ne croient pas et meurent mécréants recevront la malédiction d’Allah, des anges et de tous les hommes. » (q 2:161) - et le Coran, c’est la parole d’Allah, sans retouches ni truquages. Chems eddine Chitour le sait aussi.