Ça serait drôle si le Vénézuela ne souffrait pas de ce régime militaire. Sinon les bulletins de votes pré-remplie, le racket des électeurs par les milices politiques, la fermeture de centres électoraux choisit au dernier moment et la propagande electoral le jour du vote, les résultats farfelus au vu de la situation du pays et de toutes les enquêtes électorales, l’absence d’observateurs internationaux autre que ceux choisit par la dictature, l’interdiction « étrange » aux journalistes de rentrer dans des centres de votes désert par l’armée, on en parle ?