Commentaire de velosolex
sur Robert Ménard, son sens de la provocation : Quand un train peut en cacher un autre !
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@Fergus
bonjour
Souhaitons alors qu’il ne prenne pas le train trop souvent, et que d’autres n’aient pas vos pudeurs. Car je vous le dis.
Il faudra mettre beaucoup de trains dans ce pays.
Mais peut être cela fera t’il l’affaire des chefs de gare, des fonctionnaires, et des vaches contemplatives.
Pour le sort des femmes je n’ose rien dire
Ayant peur maintenant d’en dire trop ou pas assez
Et c’est une grande misère de n’être plus à l’aise avec ses compagnons de voyage ;
Mais enfin c’est vrai il n’y a plus de compartiment. J’ai le regret non seulement du trans sibérien, que j’ai pris comme Blaise Cendrars,mais aussi des michelines de campagne, où l’on pouvait se mettre devant, et voir arrivé les rails, en dégustant son sandwich au paté
.
Par bonheur je n’ai jamais vu personne d’attaché devant sur la voie. Je suppose du moins que je m’en souviendrai. Mais je parle d’un époque où l’arrivée d’un train en gare de Sète faisait encore chanter les poétes.
Je ne sais pas si Brassens les voit passer là bas, sur la vague en rêvant ;