Commentaire de Ciriaco
sur « Politique de la beauté »
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@alinea
Oui, c’est aussi cela qui est dit par le poète. Lorsqu’il y a une belle lune, je m’assois sur un de ces bancs en ville. Parfois un jeune, sachant à peine parler, me demande une cigarette. Je lui propose toujours quelques mots, rares sont ceux qui s’assoient. Dans les yeux de certains, il y a une peur incroyable, dévastés. Comme ses enfants qui ont connu la guerre et qui serrent les dents et les poings dès qu’un regard se pose sur eux.