Commentaire de JC_Lavau
sur Scandale : Le Syndrome d'Aliénation Parentale alias SAP
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Etant bien davantage pourvu en diplômes universitaires de psychopathologie que l’auteur(e) de ce pamphlet matriarcal, je suis en mesure de redire en français de tous les jours ce que Gardner avait mal dit :
Le dressage des enfants à servir d’aide-bourreaux, d’engins de maltraitance et de guerre contre un de leurs parents, au service de l’autre parent.
Depuis quelques dizaines d’années, les militantes féminazies défendent ce dressage des enfants à leur service, au service de leur guerre sexiste, et hurlent que c’est un mythe masculiniste.
Bonne bête de scène, Jean-Luc Delarue a pris soin de n’amener en scène que des cas où c’était le père qui était l’aliénateur. Là c’était invariablement un cas hystérique-narcissique.
Là Delarue avait volontairement violé la réalité démographique, afin de prendre les féminazies à leur propre piège.
Démographiquement, en ce 21e siècle dans nos pays surenveloppés, le vol d’enfant est une spécialité massivement féminine, et protégée par le Garde des Sceaux, et le dressage des enfants comme aide-bourrelles est une spécialité massivement féminine. Conduite criminelle qui se transmet de mère en fille, accessoirement de belle-mère en bru : « Oui vous avez mon feu vert pour zigouiller mon fils ! Mon fils c’est jamais qu’un mâle, et les mecs c’est comme ça qu’il faut les traiter ! ». Dame ! Guerre sexiste oblige !
J’ai aussi republié - mais c’est resté public de toutes façons - les vantardises du gang des tueuses conjurées, qui se vantait d’avoir fait de mon fils une épave droguée, retourné dans les pantalons de sa mère, et qui ne rêvait que de meurtre. Toutefois, le gang des tueuses conjurées n’a pas pour habitude de dire la vérité. Ce qui est incontestable, c’est qu’elles ont écrit publiquement l’idée qu’elles se font du bien et du mal.
Wi mais quand même ; hein ! Nous les femmes ont est toutes des victimes ! Alors nous les femmes il faut toutes qu’on se venge ! Et nous les femmes on a bien le droit de piller, de voler, de tuer, car nous les femmes, on est toutes des victimes !
Qui a intérêt à organiser la guerre civile sexiste depuis quelques décennies ?
Ah c’est étrange, on retrouve toujours la même oligarchie :
Qui a financé Gloria Steinem et Michele Wallace ? Rockefeller et la C.I.A.
Qui détient Amnesty International ? Gyögy Soros.
Qu’invoque Gudrun Schyman à l’appui de son impôt spécial sur le délit de masculinité, commis à la naissance par 51 ou 52 % des suédois ? Amnesty International...
Etc.
Presse aux ordres, Slate vante avec enthousiasme le misandrisme triomphal, après le triomphe du misandrisme victimaire. Osez ! Le risque est nul ! On vous couvre ! On a tous les tribunaux, et toutes les vitrines dans la presse aux ordres !