Commentaire de popov
sur Misère de la pédagogie
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@Robin Guilloux
Je n’ai pas le temps d’écrire un commentaire argumenté et structuré. Je vais donc livrer quelques impressions en vrac.
J’ai lu l’article un peu comme un enfant avale ses épinards, sans trop de conviction. Je ne le regrette pas parce que dans ce texte un peu ampoulé il y a une idée qui me paraît excellente : placer la connaissance au centre de l’enseignement (et non l’enfant ou le prof).
J’ai appris le français dans mon enfance et à la vielle école, celle qui ne faisait pas de « progrès » et qui après une dictée vous donnait une baffe par faute. Je suis donc étonné de voir qu’un prof de lettres accorde un participe passé avec le sujet :
On ne peut ignorer non plus la dimension dogmatique et quasiment catéchétique, voire terroriste, qu’a eue cette pensée dans la formation des enseignants au sein des IUFM.
Ceux qui savent se consacrent à la recherche (pour en savoir plus).
Ceux qui ne savent pas enseignent.
Ceux qui ne savent pas enseigner écrivent des livres de pédagogie.
(phrase entendue dans une cafétéria universitaire, auteur inconnu)