Commentaire de Cateaufoncel
sur Les délires coloniaux


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Cateaufoncel 22 février 2018 13:28

@gaijin

« je ne nie pas qu’il y ait des problèmes c’est une évidence mais je ne vois pas en quoi l’évidence de l’existence de problèmes devrait être un frein a la recherche de la compréhension de leurs origines et de solutions. »

La situation actuelle – dans le monde, en Europe, en Italie et à Castel Volturno – est l’aboutissement d’un enchaînement de circonstances, à la source duquel il n’est possible de remonter pour repartir de zéro. Donc la compréhension des origines n’aide en rien à l’émergence de solutions réalistes.

On pouvait lire, le 25 janvier 2014, sur le site de Radio France Info « Le scénario est préoccupant aussi dans les pays de l’Afrique subsaharienne. Selon la Banque mondiale, la jeunesse compte pour 60% de l’ensemble des chômeurs dans cette zone. Avec chaque année, près de 10 à 12 millions de jeunes arrivant sur le marché du travail, la tendance n’est pas prête à s’inverser. »

Non seulement en raison de l’augmentation permanente du nombre des demandeurs d’emplois, mais aussi en raison du manque d’infrastructures, à commencer par la production d’énergie et par la faiblesse de l’outil global de formation, à tous les niveaux d’enseignement.

« et pourquoi au juste  ? »

Fondamentalement en raison de l’introduction de mesures d’hygiène élémentaire et de la diffusion de la médecine européenne. Dans l’Europe industrialisée, tous les domaines se sont développés en parallèle, sans concertation ni coordination, chaque secteur évoluant en s’adaptant à chaque changement de la donne.

« …comme votre copain vous semblez incapable de discuter sans supposer que votre interlocuteur est un con ... »

Pas du tout. Mais en écrivant « la mafia nigériane a naple ? mdr que fait la camorra ? », vous donnez l’impression de vous foutre complètement de ce qu’il se passe en Campanie en général et à Castel Volturno en particulier. Et même si c’était le cas, je pense qu’on peut très bien se désintéresser totalement d’une partie du monde, sans pour autant être un con.


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