Commentaire de Philippe VERGNES
sur Cantat, ce sombre héros de l'amer
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@ Bonjour Self con troll,
Si je puis me permettre de rebondir sur votre post sans toutefois répondre à la place d’alinea à la question que vous luis posez : « En préambule, je revendique mon hostilité à la psychanalyse quand elle se veut cartographie des personnalités, selon le principe que notre individualité, que nous devons explorer et construire, n’est pas un point sur une carte. »
C’est, en d’autres termes, le sens de mon propos lorsque j’ai répondu à alinea et à Kent ci-dessus en parlant de processus plutôt que de diagnostic « catégoriel ». Sauf que je n’ai pour ma part aucune « hostilité » sachant pertinemment que les progrès, quel que soit le domaine abordé, sont toujours lents et parfois douloureux à « accoucher ». Concernant la psychanalyse orthodoxe, ils sont plus que douloureux puisque qu’une frange « dure » de ses représentants sont totalement sectaires. Mais la psychanalyse orthodoxe ou traditionnelle, n’est pas l’Alpha et l’Oméga des sciences humaines. Loin s’en faut. Et pour bien comprendre les différences entre psychanalyse orthodoxe et psychanalyse moderne, il faut en connaître l’histoire intime. Ce qui sera le thème de mon prochain article.