Commentaire de kalachnikov
sur Cantat, ce sombre héros de l'amer


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kalachnikov kalachnikov 18 mars 2018 22:17

@ Vergnes

Je ne crois pas aux motifs inconscients dans cette histoire. En parlant de tout ça, je veux juste établir quelques faits objectifs et ne souhaite pas verser dans la psychologie de bonne femme à la Mélusine.
Je crois à la généalogie, en fait. La thèse que Cantat serait un pn, qu’il s’agirait là d’un cas de violences conjugales, c’est une propagande entièrement montée par la partie civile et relayée par la presse amie. Mais ça n’est en rien étayé par des faits objectifs, bien au contraire. Ainsi, il s’agit de violences conjugales parce qu’elles ont lieu dans l’espace clos du couple mais ça n’a rien à voir avec des violences conjugales répétées (= le supposé rapport de Cantat à la femme). Comme il y a eu une enquête diligentée en France, parallèlement à celle en Lituanie, la police n’a rien trouvé.
Les circonstances psychologiques sont cependant utiles pour comprendre comment cette violence est survenue. Il est évident que le couple, qui était dans sa bulle, s’est trouvé aux prises avec l’hostilité générale et que cela a fini par mettre en péril leur relation. Mais on sait que Mt avait pris son parti : rompre avec son milieu et en particulier sa mère et partir avec Cantat. L’explication que NT donne, Cantat le magicien en quelques mois lui aurait retourné la tête, ne tient pas debout. Sa mère est de toute façon dans la négation continue que mt ait pu avoir une seule idée propre : ’ça ne te ressemblait pas’. Mt n’a pas le droit de dire non à sa mère, elle ne peut avoir de désir autre que ceux de sa mère, etc.

J’ai trouvé la raison pour laquelle Cantat est parti de chez lui à 17 ans : ses parents ne voulaient pas qu’il fasse de la musique.


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