L’attaque contre les sites d’armes chimiques a eu lieu le 14 Avril, cinq jours après l’annonce de celle-ci par les alliés.
Remarque 1 : 
Un très large délai pour bien laisser le temps aux camions gouvernementaux syriens de tranquillement retirer les fameux bidons toxiques compromettants.
Remarque 2 :
Le soigneux nettoyage des 3 lieux explique que la pluie des très coûteux 105 missiles « intelligents » n’ait tué aucun des gardiens de ces vastes domaines.
Remarque 3 :
Ce qui explique la présence de badauds sur les lieux toxiques juste après le bombardement sans la moindre suffocation ni trace de masque de protection.
Remarque 4 :
Le flou de la communication alliée sur la description précise des cibles était aussi floue que les photos OTAN avant / après frappe transmises aux médias (vous avez remarqué que la qualité photo était similaire à celle de la crise des missiles de Cuba en... 1962).
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Les autorités russes annoncent que les enquêteurs internationaux entreront à la Douma pour enquêter mercredi 18 avril. Enfin ! Il valait mieux tard que jamais...
Remarque 5 :
C’est-à-dire une inspection 11 jours après l’attaque chimique au chlore du 7 avril !
Largement le temps de laisser « s’évaporer » le maximum d’émanations chlorées.
Remarque 6 :
C’est aux russes d’annoncer ce report ?
Remarque 7 :
Cette date sera t-elle à nouveau reportée par le gouvernement de Bachar Al Assad qui avait proposé la tardive date du 16 avril) ?
C’est que Mélenchon et les autres, eux, attendent toujours des preuves concrètes...
... y compris un bilan complet des analyses ONU des « 60 » tirs chimiques précédents.
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Remarque générale, en brève conclusion provisoire :
Après des années de carnage
(notamment les deux mois de sanglants bombardements, de saccage et d’épuration ethnique des kurdes à Afrin, sans la moindre intervention des « alliés »),
tous ces dirigeants ont massivement fait joujou avec les médias, la « com » et la propagande pour se donner une posture diplomatique voire une bonne conscience.
Nous savons maintenant que la liberté d’envahir, de bombarder, de tuer est internationalement « toléré » par l’ONU tant que le gaz n’est pas utilisé. Des américains à l’Ouest jusqu’aux russes à l’Est, par cette farce d’hypocrisie généralisée, ils semblent avoir pris les citoyens et toutes les victimes de ces horreurs pour des mégacons !