Commentaire de eric
sur Le meilleur des mondes


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

eric 7 mai 2018 19:04

Cela ne vous fatigue pas de répéter les mêmes mensonges sans même tenter de les vérifier par vous même . Depuis 208, les taux de l’endettement d’état. n’ont pas cessé de baisser

Les taux d’intérêt payés par l’État sur sa dette de court et de long terme ont ainsi diminué de façon quasi continue depuis dix ans. À titre d’illustration, le taux des titres d’État à long terme (10 ans) est passé de 4,07 % en 2007 à 0,88 % en mai 2017, soit une baisse de près de 80 %. Alors que le stock de dette a augmenté de 66 % entre 2008 et 2017 (soit un accroissement de 673 milliards d’euros), la charge de la dette a quant à elle baissé de 8 % (soit de 3,5 milliards d’euros au total) sur la même période.

Si le taux apparent de 2016 s’était maintenu au niveau de 2010, la charge d’intérêt de la dette souveraine française en 2016 aurait été supérieure de 19 milliards d’euros à son niveau réel ! Au total, la baisse des taux a permis à la France « d’économiser » près de 67 milliards d’euros depuis 2010, mais en continuant à s’endetter.

En pratique, les gens qui prêtent à l’état font du 0,2 ; 0,5%, avant impôts prélèvements et taxes...

Si vous délattez les dettes de 1979, vous constatez qu’on a pas augmenté de 900%. Et puis cet argent, il n’a pas servit qu’à payer des intérêts ; Embauches de prêt de 2 ou 3 millions d’agents publics para publics et associés, subventions diverses et en tout genre ; Oui, c’est de la consommation et non de l’investissent, ; mais l’argent ; Notre argent. N’a pas été perdu pour tous le monde.

Depuis l’arrivé des gauches aux différents pouvoirs ( locaux, nationaux, associatifs etc.., le nombre de propriétaires de leurs logement et souvent de leur résidence secondaire a augmenté.. ; Les riches étaient déjà logés. les pauvres faisaient déjà la queue pour avoir des HLM ; L’électorat de gauche est devenu propriétaire de ses logements. Nous ne nous sommes pas endetté en vain...


Voir ce commentaire dans son contexte