Commentaire de popov
sur Climat : déjà 330 ans de réchauffement


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

popov 18 mai 2018 10:04

@jalin 

 
Et je répète qu’au delà d’une certaine densité de CO2 atmosphérique et de température moyenne annuelle, les végétaux croissent moins vite et sont plus susceptibles d’incendies qui les détruisent.
 
Quel est ce seuil de concentration de CO2 à partir duquel les végétaux croissent moins vite ?
 
En ce qui concerne le CO2 et son effet de serre, à la concentration actuelle, il absorbe déjà pratiquement toute la portion de rayonnement thermique terrestre qui se trouve dans son spectre d’absorption. Un peu plus ou un peu moins ne changera pas grand chose à la température de la planète.
 
Dans l’hémisphère nord, il faut tenir compte des suies qui résultent de la combustion industrielle de charbon et qui se déposent sur les glaces polaires, diminuant l’albédo et contribuant au retrait progressif de la banquise arctique. Cet effet est probablement plus puissant que l’effet de serre du CO2 puisque la banquise antarctique qui ne reçoit pas de suies, ou beaucoup moins, ne semble pas subir de retrait.
 
En fait tout ce blabla sur le réchauffement planétaire semble surtout conçu pour prélever des taxes à l’échelle mondiale et permettre à des parasites d’organiser des réunions internationales aux frais du cochon de contribuable. 
 
Ce qu’il faudrait plutôt craindre, c’est une mini-glaciation causée par la période actuelle de ralentissement de l’activité solaire. Un tel refroidissement aurait des conséquences beaucoup plus graves dans l’hémisphère nord qu’un petit réchauffement.
 
Dans un cas comme dans l’autre (réchauffement ou refroidissement), il vaudrait mieux utiliser notre matière grise pour nous adapter aux changements climatiques éventuels, plutôt que d’essayer de les influencer alors qu’on comprend pas tout ce qu’il faudrait savoir pour ce faire, et que même si on le comprenait, il n’est pas dit que nous pourrions y arriver avec nos petits moyens.


Voir ce commentaire dans son contexte