Commentaire de Jean Roque
sur La morale et l'action


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Jean Roque Jean Roque 19 mai 2018 19:03

 
Socrate a été hoplite, il vénérait la Cité, c’est pour ça qu’il a accepté sa condamnation par le jugement légal, et a refusé l’exil.
 
Dans la guerre des Gaules il y a des considérations sur les sacrifices humains des celtes, barbares pour César.
 
L’essence de l’État est constitué par la vitalité éthique. La guerre est l’héroïsme de la liberté humaine, l’éthique pure.
 
« La guerre comme état dans lequel on prend au sérieux la vanité des biens et des choses temporelles qui, d’habitude, n’est qu’un thème de rhétorique artificielle, est donc le moment où l’idéalité de l’être particulier reçoit ce qui lui est dû et devient une réalité. La guerre a cette signification supérieure que par elle, comme je l’ai dit ailleurs : ‘la santé morale des peuples est maintenue dans son indifférence en face de la fixation des spécifications finies de même que les vents protègent la mer contre la paresse où la plongerait une tranquillité durable comme une paix durable ou éternelle y plongerait les peuples. ’ »

’Principes de la Philosophie du droit’ Hegel


Voir ce commentaire dans son contexte