Commentaire de lloreen
sur Pourquoi tous les parlements du monde sont-ils des parlements-godillots ?


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lloreen 24 mai 2018 11:51

Sans faux semblants, il nous faut voir la réalité en face. Nous sommes des esclaves qui bénéficient de quelques libertés matérielles qui peuvent à tout moment nous être retirées. La paupérisation des peuples européens se fait par des subtilités à marche forcée. L’orientation est indéfectible, les richesses vont aux réseaux intégrés du Nouvel Ordre Mondial, tandis que les dettes sont supportées par l’ensemble des populations. La visée est claire, il s’agit de forger deux classes :

1°) une classe qui a le pouvoir mondial de création monétaire, qui ainsi pilote absolument tout, son idéal étant une monnaie exclusivement électronique qu’il est aisé de truquer à sa guise.

2°) une classe sans aucun pouvoir qui se contente de croire aux idéologies, aux lubies fantomatiques d’une économie s’auto régulant, aux délires de choix politiques possibles, aux illusions du pouvoir législatif, exécutif et judiciaire. « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. » Mayer Amshel Rothschild

La nouvelle lutte des classes n’a plus rien à voir avec le marxisme, le communisme, ou l’anticapitalisme, idéologies d’ailleurs intégrées aux réseaux du Nouvel Ordre Mondial. Rappelons que la révolution bolchévique fut financée par le « banquier de la Révolution mondiale ». Il s’agit de Olof Aschberg, de la banque Nya Banken de Stockholm qui servait d’intermédiaire entre les élites de Wall Street, de la City d’un côté, et les dirigeants bolcheviques de l’autre. L’analyse marxiste est désuète et tronquée. La seule véritable lutte des classes existe entre ceux qui ont le pouvoir de créer de la monnaie ex-nihilo et ceux qui n’ont pas ce pouvoir. Or, parmi ceux qui n’en créent pas, il y a des chômeurs, des ouvriers, des cadres, des chefs d’entreprises, des fortunés et des infortunés. Tous sont exposés aux mêmes dangers, celui de perdre leurs biens s’ils en ont et de perdre toute liberté.

Le système est conçu pour vampiriser les revenus, détruire les services publics et faire flamber les impôts jusqu’à une incontournable implosion sociale. Sans doute en viendra-t-on à des prélèvements directement opérés par votre propre banque, destinés au déficit public. Le fisc finira par être privatisé, précisément racheté par les banques chargées de recouvrir la dette. A ce propos, dans une toute dernière interview sur TV5, le Président de la Cour des Comptes, Philippe Séguin, affirmait : « Quand vous payez vos impôts, ce n’est pas la peine de vous consoler en vous disant, ça va servir pour embaucher des gardiens de prison, pour embaucher des infirmières, faire des routes, des stades, que sais-je... Ça partira en priorité au remboursement de la dette ! » Nous faisons face à une dictature financière éclairée qui s’est octroyée le droit de créer de la monnaie ex-nihilo afin de se bâtir un Empire mondial sans partage. Puisque les gouvernements et les politiques de tout poil ont vendu notre souveraineté à des cohortes de banques privées sans vergognes, qui aujourd’hui, peut restituer cette souveraineté, sinon les peuples eux-mêmes ? Par ailleurs, la grande question de notre époque charnière consiste à savoir si nous pouvons raisonnablement laisser 0,2% de la population mondiale voler l’intégralité des richesses planétaires ?"


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