Commentaire de Alren
sur Tueries US : la solution


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Alren Alren 7 juin 2018 13:26

@Yaurrick

La différence d’atmosphère entre la Suisse et les USA est frappante pour tous ceux qui ont vécu dans les deux pays. L’attitude des policiers sont aux antipodes d’un pays à l’autre.

La violence US s’explique d’abord par l’origine de sa population.

Une première immigration venue de pays « civilisés » s’installa sur des terres où régnaient les « sauvages » et qui furent massivement exterminés dans un esprit raciste.

La nature sauvage, la peur des Indiens qui ne rataient pas une occasion de prendre une revanche sur les « visages pâles », fit que tout le monde s’arma.

Ensuite vinrent des vagues d’immigration de pauvres, de déclassés qui n’étaient pas regardées par les autres comme bienvenues et qui durent à leur tour s’imposer par le violence. Le faible niveau de vie accordé aux nouveaux arrivants poussa nombre d’entre d’eux vers le banditisme, comme chez nous les trafiquants de drogue.

Aujourd’hui, aux USA, comme en France d’ailleurs, la violence a pour source en premier la consommation importante de drogue. C’est l’indice d’un mal être généralisé qui frappe presque toute la société, où le statut, le niveau de vie sont précaires.

Un licenciement que nous qualifierions d’abusif et c’est la descente rapide sous le seuil de pauvreté. Il n’y a pas de solidarité sociale en dehors de quelques organismes religieux de charité humiliante.

C’est le règne, entretenu par le capitalisme, du « tous contre tous » et des ghettos ethniques. Loin d’avoir une action apaisante, la police exacerbe cette haine sociale par son racisme évident.

Celui qui s’impose est celui qui est le plus violent, le plus armé. Les adolescents vivent dans cette atmosphère et pensent régler tous leurs problèmes avec une arme.

Le contraste est frappant avec la Suisse qui a pendant des siècles été une société agricole de villages et de cantons où chacun se connaissait, pratiquait la même religion, avait les mêmes idées.

Il n’y avait pas besoin d’armes sinon contre l’étranger, contre la volonté de l’Autriche d’annexer le pays.

C’est encore le cas aujourd’hui où la plupart des armes détenues par les familles sont des armes de guerre permettant en cas d’agression du pays d’envoyer rapidement les hommes mobilisés partant de chez eux d’aller directement au feu.

Assez pauvre, le pays laissait partir des mercenaires à l’étranger, tout comme la Savoie voisine des petits ramoneurs dont la plupart contactaient un cancer au contact de la suie, ce qui explique que les Français plus aisés ne voulaient pas faire ce travail. Beaucoup de mercenaires suisses, eux, bataille après bataille, étaient tués au combat à la place des nationaux pour qui ils combattaient.

La prospérité de la Suisse est relativement récente. Elle est apparue après la Révolution industrielle que connut la GB et la France. Sa neutralité lui assura une prospérité et un plein emploi qui renforça la paix sociale jusqu’à aujourd’hui.

Elle n’est secouée seulement que par le refus majoritaire de l’islamisme et de l’installation de personnes qui, au nom de leur religion, n’acceptent pas cette homogénéité sociale.

Mais comme il n’y a pas d’attentats dans la Suisse, neutre au plan international, ce refus n’a aucun caractère violent.


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