Commentaire de Alren
sur Les CRYPTOMONNAIES : une rupture géoéconomique mondiale ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Alren Alren 1er juillet 2018 17:25

Le système du hashtag est plus prometteur que la blockchain pour l’inviolabilité du message que constitue une opération de cryptomonnaie et pour l’établissement de documents infalsifiables.

La technique du hashage rend mathématiquement impossible la reconstitution d’un message tout en permettant à celui qui dispose de ce message de vérifier son intégrité.

Si le fruit du hashage est public, détenu par des machines indépendantes, il lui sera cependant impossible de modifier ce message.

Surtout si le message a été crypté en amont par un système simulant une suite aléatoire de bits comme par exemple des décimales (binaires) de Pi non successives.

Cette technique du hashage est particulièrement utilisable pour les « documents-preuves » tels que les pièces d’état-civil, les contrats et même les plans et images.

Mais l’expérience montre que ces systèmes mathématiquement complexes ont besoin d’un certain temps pour être explorés complètement.

Le hastag est un bouton mais s’épanouira-t-il en fleur, dirait le poète ?

Je ne crois pas à l’avenir des cryptomonnaies indépendantes dont j’ignorais qu’elles avaient été conçues au départ pour empêcher l’action régulatrice de l’État, représentant le peuple (officiellement !).

Mais une banque mondiale virtuelle pourrait être créée avec des comptes-clients, particuliers ou banques, acceptant les virements des banques sur ordre des clients dans les différentes monnaies et les stockant jusqu’à une demande de virement pour paiement dudit client. Cet argent des particuliers serait insaisissable sauf sur décision de justice. Il ne produirait pas d’intérêt et le client devrait payer des frais (très légers) de tenue de compte par les ordinateurs (plusieurs par sécurité) qui tiendraient ces comptes à jour.


Voir ce commentaire dans son contexte