Commentaire de Robin Guilloux
sur Albert Camus, Noces à Tipasa


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Robin Guilloux Robin Guilloux 11 août 2018 20:19

Est-ce la route immense et blanche de juillet

Que le brûlant soleil frappe à coups de maillet ;

Sont-ce les vérandas dont ce dur soleil crève

Le vitrage ébloui comme un regard qui rêve ?

(Anna de Noailles, Eblouissements, « Trains en été »)


Voir ce commentaire dans son contexte