Commentaire de Robin Guilloux
sur Albert Camus, Noces à Tipasa
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Est-ce la route immense et blanche de juillet
Que le brûlant soleil frappe à coups de maillet ;
Sont-ce les vérandas dont ce dur soleil crève
Le vitrage ébloui comme un regard qui rêve ?
(Anna de Noailles, Eblouissements, « Trains en été »)