Commentaire de Jean-Paul Foscarvel
sur Journées dans les murs
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Les machines désirantes de Deleuze se sont métamorphosées entre l’intérieur et l’extérieur, constituant le vecteur unique du corps sans organe.
L’autophilie a ainsi trouvé son instrument. Le réel s’éloigne, remplacé par un idéel sans idéal où chacun s’éprend de son soi. Une société solipsiste se forme alors, désormais dédiée au vide qui ne l’habite même pas.