Commentaire de Raoul-Henri
sur Plainte contre Brigitte Macron (2)
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@ZenZoe
Salut ! Je m’immisce. Il y a quelques années je me suis interrogé sur les notions de « public » attenant au spectacle et « public » en relation avec l’administration. Cette utilisation d’un seul terme pour plusieurs
significations conduit à la confusion du corps politique (principe
actif) et du corps distractif (principe passif). Ainsi j’écris « service publique » consciemment et fait la ’faute’ d’accord délibérément (en la soulignant) pour éviter l’abstraction d’un « grand public » qui, lui, ne sert qu’à applaudir ou se taire.
Remarque : par ce moyen inductif (qui ne fonctionne qu’au masculin) la langue politique du public se résume à : clap-clap (glop-glop) ; et n’a d’autre institution que le référendum pour exprimer le pas-glop. Même blanc, le « vote-sanction » est toujours un vote d’adhésion pour autrui ou pour le principe du vote nominatif.
Aux pays du positivisme le « Non » est interdit.
Peut-être l’auteur de l’article est-il aussi conscient (ou pas) du subterfuge verbal de cette utilisation du terme « public » ; lui qui essaie de réinventer ce pas-glop volé ?