Commentaire de velosolex
sur Les classards
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Les gens s’aiment et s’estiment à mesure qu’ils ont besoin des uns et des autres
Et se détestent en fonction qu’ils sont persuadés qu’ils sont autonomes.
Je ne sais plus qui a écrit cela...Mais tout le chemin de la politique devrait être de travailler en ce sens. Les fêtes de village remontent, comme disait Vialatte à la plus haute antiquité. Elles célébraient le collectif, sans lequel on ne peut pas vivre. Les pardons en Bretagne se sont eux aussi appuyés sur de de vieilles fêtes païennes, mais une fois le religieux parti, la fête continue à exister.
Il faudrait sans doute dans chaque commune instaurer un projet collectif, une construction, une utopie, afin de restaurer l’esprit de rencontre et d’échange.