Commentaire de Cateaufoncel3
sur Perquisitions chez Jean-Luc Mélenchon : Macron ou le visage hideux de la bourgeoisie
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M. le GROTESQUE
M. :C’est qui qui a donné cet ordre ? Au nom de quoi m’empêchez d’entrer dans mon local ?
Un loustic en uniforme : - Ici c’est nous qu’on pose les questions ? Tu regardes pas les séries à la télé ?
Un chef : - Arrêtez de déconner... D’abord, c’est « nous qui posons » et pas « nous qui »... Et ensuite, on peut rigoler, mais ça reste quand même un boulot sérieux, flic.
Un figurant à lunette : - Touchez pas à Monsieur Mélenchon !
- Vous savez à qui vous parlez ?
Un délégué syndical : - On n’a pas le droit de discriminer .
- Vla aut’ chose . Qu’est-ce que c’est que cette connerie ?
- La nouvelle loi antiraciste est très claire à ce propos. Je cite de mémoire : Art 7 - Pour le policier, tout citoyen.ne est un.e code-barres. C’était pour mettre un terme aux contrôles au faciès. Si vous avez remarqué, ça n’a pas de faciès, un code barres.
- Vous savez qui je suis ?
- Ca on a le droit, le citoyen Mélenchon, un soixante millionième de la citoyenneté française. Pas plus pas moins.
- Vous n’avez pas honte de ce que vous faites ?
- Ni plus ni moins que Goebels et Goering à Nuremberg. Comme eux, on obéit aux ordres.
- Pas Goebels, connard ! Et en plus ça prend deux « b »
- Fais pas chier. Comme on dit, c’est l’intention qui compte
- Je suis parlementaire.
- Le greffier
- Moins de boucan, les copains. Pensez au scribe qui doit noter chaque mot qui
sort de la bouche de M., Mélenchon. Je comprends pas la moitié de ce qu’il dit.
J’ai compris parlementeur, c’était ça ?