Commentaire de Christian Labrune
sur Le bonheur d'être parisien avant les égouts
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@Fergus,
On a toujours beaucoup de mal, circulant dans Paris aujourd’hui, à imaginer ce qu’il put être dans les siècles passés, et votre article ne pourra que fasciner beaucoup de lecteurs.
Je me permettrai de signaler deux bouquins qui se lisent comme des romans
Alain Corbin : Le miasme et la jonquille :
Simone Delattre : Les douze heures noires
Il y a aussi l’incontournable Paris de Jean Favier (près de mille pages).
L’ouvrage de Simone Delattre, qui est une élève de Corbin, évoque en seulement cinq cents pages le Paris nocturne du XIXe siècle.