Commentaire de moderatus
sur Le Far West sans Shérifs


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moderatus moderatus 29 octobre 2018 11:57

@Hervé Hum



S’il y a aggravation du phénomène malgré les différentes politiques menées depuis plus de 30 ans, c’est que ces politiques n’étaient visiblement pas adaptées et n’ont jamais été adaptées.

C’est une évidence, il y a une aggravation, mais elle vient du fait qu’aucune politique véritable n’a été mise en place contre ces phénomènes qui ont donné lieu à la naissance des quartiers de non droit, l’islamisation des banlieues une violence entre gangs bandes et communautés.

C’est que la solution passe par une remise en cause fondamentale du système économique et de ses rapports dits de productions, or, comme la politique vise à renforcer les causes du mal et non à les éliminer,

De quelle politique parlez vous et quel système économique condamnez vous , ils sont légion. ?

Nous avons eu des immigrations constantes, mais contrôlées et régulées et donc une assimilations des arrivants et une intégration totale ; qui a évité les communautarisme qui est source de division et de confrontation ;
ces phénomènes n’existaient pas.

Alors on peut rechercher les responsabilités ailleurs, dans des considérations économiques et chacun va trouver sa réponse dans sa conception de l’économie et des échanges commerciaux.

La mondialisation qui prône la suppression de la nation des cultures et des identités, la libre circulation des hommes , des capitaux des marchandises conduit à ces dérives .
On ne voit que l’économie , l’homme est une variable d’ajustement, le migrant qui compense le déficit de natalité , l’homme universel taillable et corvéable à merci.

Alors ceux qui se veulent encore patriotes, on les traite de nationalistes avec toutes les connotations péjoratives que l’on ajoute.

l’idée de nation expliquée par Renand me semble acceptable

Ernest Renan

Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. L’homme, Messieurs, ne s’improvise pas. La nation, comme l’individu, est l’aboutissant d’un long passé d’efforts, de sacrifices et de dévouements. Le culte des ancêtres est de tous le plus légitime ; les ancêtres nous ont faits ce que nous sommes. Un passé héroïque, des grands hommes, de la gloire (j’entends de la véritable), voilà le capital social sur lequel on assied une idée nationale. Avoir des gloires communes dans la passé, une volonté commune dans le présent  ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple


Je crains que ce qui manque le plus aujourd’hui à cause de la démarche mondialistes de nos dirigeants , et du diktat de l’U.E. c’est l’amour de la France

L’Amour de la France expliqué à mon fils

« Peut-on aujourd’hui, sans chauvinisme et sans être tourné vers le passé, parler de l’amour de la France ? Peut-on évoquer la passion qu’a suscitée, tout au long de son histoire, cette nation, porteuse des grands idéaux universalistes ? Et montrer qu’à l’heure de l’Europe et de la mondialisation cet amour a encore un sens ? Max Gallo le croit et veut faire partager à un jeune Français, son propre fils, l’amour de son pays. Il raconte. Il dialogue. Il prouve que c’est en s’aimant elle-même que la France peut le mieux s’ouvrir au monde. »Max Gallo

« La France, la patrie dont je ne saurais déraciner mon cœur. J’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé, je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».

Déclaration reprise par une immigrée Malika Sorel

et qui était la pensée profonde des immigrés d’il y a quelques décennies.


J’aime bien América first de Trump comme le patriotisme, celui des dirigeants chinois et des Russes , les vraies puissances aujourd’hui.
on peut être patriote sans haïr les autres.

c’est bien en s’aimant soi même qu’on découvre la nécessite et l’intérêt aussi d’aimer les autres.




 


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