Commentaire de Attila
sur Prolétariat vs écosocialistes, environnementalistes et altermondialistes réformistes
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« Le prolétariat ne se laisse pas embarquer dans les chimères écologistes »
Notamment, dans la notion de « développement durable ». Dans les années 1970, le Club de Rome a diffusé la notion de « croissance zéro »
Devant le peu de succès, d’autres ont essayé de remettre cette notion au goût du jour en la déguisant sous l’appellation de « développement durable » : la croissance, oui mais à condition qu’elle soit soutenable, ou durable. On ne s’attaque pas frontalement à la notion de croissance mais on la plombe avec tant de conditions à remplir qu’elle devient impossible en pratique. C’est le but.
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Autre chimère, l’écologie. On veut nous faire croire que la protection de l’environnement ne peut s’effectuer que grâce à l’écologie. Or, l’écologie est une idéologie et une religion bourgeoise : le culte de la Nature. L’idée de la Nature est totalement étrangère aux cultures non-occidentales ainsi qu’aux cultures populaires occidentales : jusque dans les années 1970, les classes populaires ignoraient la notion de nature et de naturel. C’est essentiellement la télévision qui a diffusé cette idée.
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Pour défendre les classes populaires, il faut commencer par ne pas adopter le langage et les concepts de son ennemi de classe.
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