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Le professeur Gervais se bat contre des idées préconçues qui semblent
être la bible de l’Élysée. Il affirme que la pollution a grandement
diminué. Le climat change tous les trente ans, mais pas toujours dans le
même sens. En 1945, par exemple, lorsque les émissions de gaz
carbonique (CO2) se sont accélérées, la température a baissé
pendant trente ans… pour remonter de 0,4 % depuis, mais nos experts
occultent la variabilité du climat.
« Il est un fait avéré que le CO2 est un bienfait, car
c’est la nourriture indispensable et irremplaçable de la végétation.
Sans gaz carbonique, nous n’aurions plus de végétation et la planète
mourrait. » François Gervais affirme que le CO2, cause
première de la hausse des taxes, est passé de 0,03 % à 0,04 % en un
siècle sur la planète Terre, ce qui a permis aux récoltes et à la
biomasse végétale d’augmenter de 20 %, conduisant, selon un savant
américain, à un gain de trois mille milliards d’euros !
Un autre chiffre relevé par François Gervais : « Si l’on réduit de 20 % le CO2
d’ici 2020, on éviterait à la planète de se réchauffer de moins de 1
millième de degré pour un coût exorbitant puisqu’au niveau de l’Europe,
il s’agit de 20 % du budget européen. »