Commentaire de Christian Labrune
sur Salafisme un mal que la France n'ose pas éradiquer


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Christian Labrune Christian Labrune 15 décembre 2018 15:48

Quand Notre président dit ...
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@moderatus

Votre liste des dires du « président » constitue ce qu’on pourrait appeler un crime contre la sûreté de l’état, une haute trahison assez comparable à celle qui avait été retenue contre Pétain : on s’emploie à livrer à l’ennemi la Nation, pieds et poings liés.

Valérie Pécresse, qui n’a jamais vraiment suscité mon enthousiasme, mais pour qui j’avais voté lorsqu’il s’était agi de choisir des président de région, proposait récemment d’appliquer aux plus dangereux des fichés S les mesures légales déjà existantes qui répriment l’intelligence avec l’ennemi. Ce serait déjà un début, mais rien n’empêcherait de revoir, à l’Assemblée, l’ensemble des lois répressives existantes qui ne sont plus du tout adaptées au nouvel état des choses.

http://www.leparisien.fr/politique/valerie-pecresse-contre-le-terrorisme-nous-n-avons-pas-tout-essaye-19-05-2018-7725111.php 

J’entendais tout à l’heure les déclarations des gilets jaunes réunis sur la place de l’Opéra, qui dénonçaient avec beaucoup de lucidité la situation existante, exigeaient qu’un référendum soit proposé sur toutes les questions touchant à l’intérêt national. J’aimerais bien qu’on ne revoie pas aujourd’hui les mêmes exactions que ces dernières semaines (les exactions des mouvements populaires me font horreur !), mais il me parait d’ores et déjà évident qu’on est bien en face d’une révolution, et qu’elle ne va pas tarder à s’étendre à l’ensemble d’une Europe encore soumise aux diktats de Bruxelles. Les replâtrages ridicules, en France, et la charité d’état d’un régime désormais totalement discrédité, ne lui permettront plus très longtemps de se maintenir en place.


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