Commentaire de Aristide
sur Astérix est parti
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@nono le simplet
Un petit ajout, vos larmes de crocodiles suivi de votre extrait d’agenda personnel sont surement le signe de votre grande sentimentalité.
Moi je suis plutôt comme Desproges :« « J’ai pas peur de l’avouer, j’avais quarante ans passés, eh bien, le jour de la mort de Brassens j’ai pleuré comme un môme. J’ai vraiment pas honte de le dire. Alors que – c’est curieux – mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j’ai repris deux fois des moules. » »