Ce n’est pas un secret que la liberté d’expression en France est de plus en plus réduite.

Les médias ne font plus, depuis un certain moment déjà, leur travail. C’est un acquis pour tout le monde je crois.

Même au parlement, lorsqu’un député exprime légitimement sa colère, on des des pimbêches qui vont les insulter en direct sans que le président de l’AS ne réagisse réellement en prenant des sanctions qui s’imposent.

Aujourd’hui, on agresse aussi bien verbalement — monnaie courante de la « nouvelle politique » — que physiquement.

Pourquoi ? Parce que le transfert de transfert de pouvoir (au sens aussi bien politique qu’économique) est de plus en plus brutal. Les privilégiés souhaitent prendre le contrôle de tous les aspects de la vie de la société : on a plus le droit de penser (cf. la loi sur l’antisionisme), de manifester, même internet va être largement bâillonne et la constitution refaite à leur image.

Le pouvoir desdites élites n’est, apparemment, pas suffisant et il leur en faut toujours plus — comme pour les drogués, après une dose il leur en faut deux et ainsi de suite.

Pour créer une société docile, sans contestation, il faut attaquer sur tous les fronts : braquer le portefeuille des particuliers, contrôler les médias pour relayer leurs informations, piloter la justice, utiliser les réseaux sociaux comme une arme, etc.

En fait, on a affaire à une tactique très évoluée de communication agressive qui tient de la politique hitlérienne. Bourrage de crâne, légitimation même de n’importe quoi, répression pour les plus récalcitrants, etc.

Le voir sur toutes les chaînes ? Rien de plus banal en dictature.