Commentaire de Christian Labrune
sur Le dernier grand combat
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Un peuple qui a choisi d’être « peuple « et de disposer de son État et de ses richesses, comme bon lui semble, au service prioritaire de ses intérêts.
*
=====================================
Au Venezuela comme dans l’Algérie actuelle, ce n’est pas le peuple qui dispose des « richesses » du pays, mais une oligarchie militaire au pouvoir qui veut continuer à jouir tranquillement de ses privilèges et se fout royalement de ce que le bon peuple n’ait même plus de quoi nourrir ses enfants.
Comme en Algérie, c’est l’armée, au Venezuela, qui tire les ficelles et qui maintient artificiellement au pouvoir une marionnette. Une vieille momie d’un côté, et de l’autre un pauvre abruti inculte et vulgaire qui sait très bien que s’il est demain balayé, il lui faudra nécessairement répondre de ses crimes.